samedi 1 novembre 2014

Harcèlement, propagande et tribunal secret : tradition ou retour au moyen-âge ?



Le harcèlement qu'il soit physique ou moral, peut tuer plus surement qu'un cancer. Si l'on est dans l'incapacité de s'en protéger, par exemple en se trouvant "dans une période immuno déficiente", son action peut être mortelle. 
C'est comme le supplice de la goute d'eau, ce n'est pas l'eau qui est dangereuse mais son action répétitive.
Le harcèlement peut revêtir diverses formes plus ou moins insidieuses.
On n'a pas besoin d'être dans un pays de l'ex union soviétique ou sous un régime de dictature, en France aussi on a tout ce qu'il faut.
Les formes sont plus discrètes et plus hypocrites mais tout aussi efficaces quand elles empruntent la voie de réseaux, très nombreux dans notre pays.
Le harcèlement peut transiter par la presse, les médias ou tout simplement par le biais du téléphone, les messageries ou le bouche à oreille.
Aujourd'hui il est à la portée de tout le monde de déclencher une cabale ou faire courir une rumeur.

Le milieu de l'aïkido n'y échappe pas et certains profitent "des stages" pour colporter des idées, casser du bois ou tailler des costards *. Ces moments de rencontres censés être destinés à l'apprentissage sont utilisés par certains comme outils de propagande. C'est aussi l'occasion d'inciter les participants à mettre au banc ceux qui à leurs yeux ne rentrent pas dans le moule ou qui ont fait l'objet d'une sentence de leur tribunal secret.
C'est ainsi qu'on se retrouve face à des dérives hallucinantes rappelant les chasses aux sorcières du moyen-âge ou les dénonciations sous l'occupation.

Le maître-gourou se trouvant en haut de la pyramide initie les idées, les stratégies et la plupart des méthodes. Auprès de qui veut l'entendre et ayant le verbe haut, il se vante en permanence de tirer la totalité des ficelles (normal c'est le boss).
Effectivement c'est lui qui lance les actions et qui porte la plus grande part des responsabilités.
Non seulement personne ne moufte mais qui plus est 10 % des auditoires sont prêts ventre à terre à couper les têtes qui dépassent.
Faut-il le rappeler, à moins d'avoir accepté d'être lobotomisé, chaque individu est responsable de son comportement personnel et porte aussi une part de responsabilité sur la propagation et les méthodes.

A Nuremberg aussi certains essayaient d'invoquer l'exécution des ordres pour être blanchi...

* c'est ce qui nous a été rapporté après des stages dans des villes pourtant éloignées telles que Nancy, Grenoble, Mulhouse et d'une large région autour de Dijon.

mercredi 22 octobre 2014

"Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés"

"Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés"
(Les Animaux malades de la peste - La Fontaine)

 
Il y a des années de cela (2008), nous avions été destinataires d'une lettre ouverte rédigée par un très ancien membre de la structure à laquelle nous appartenions.
Le propos nous échappait car à l'époque, nous n'avions pas encore été confrontés aux problèmes évoqués et l'on pratiquait sereinement sans que personne ne nous cherche de noises.
Il en va tout autrement aujourd'hui.
C'est par hasard que nous avons retrouvé ce lien URLLes pages étant particulièrement bien rédigées, nous ne pouvons que conseiller de les consulter car elles recoupent nos (tristes) analyses.

1 / Ni les premiers ni les derniers ou : mêmes maux, mêmes conséquences...
Certains des personnages mentionnés à cette adresse (repérés au travers les dojos cités) sont les mêmes que ceux qui ont tenté de nous nuire.
Si l'on suit les liens menant aux sites de leurs dojos, il n'est pas nécessaire d'avoir une grande capacité d'analyse pour comprendre qu'on est en présence de pratiquants présomptueux et mégalomanes, suffisants et imbus de leur personne, bref de profils à l'opposé de ce que l'on souhaite rencontrer quand on choisit de pratiquer l'aïkido.

Outre que le langage est souvent primaire, le ton péremptoire et les sujets (empilements répétitifs de blablas tendant à l'obsession paranoïaque) sont symptomatiques d'un état d'esprit peu compatible avec une quête de l'harmonie.
Informer sur les choix d'une pratique et ses caractéristiques n'oblige nullement à piétiner ce qui se fait ailleurs ou autrement. Cette attitude très offensive révèle une incroyable intolérance et trahit une grande faiblesse.

Ces comportements ne correspondent pas aux fondements philosophiques de l'aïkido et l'on ne peut que fortement douter de la cohérence entre leur discours et leur pratique :
- comment peut-on s'auto qualifier de "maître" (d'aïkido) et agir à l'opposé de ses concepts ?
- comment peut-on avoir l'audace de se référer à l'aïkido traditionnel (donc à Ueshiba Morihei) et se comporter en salopard dans la vie de tous les jours ?
- comment peut-on pratiquer un art martial porteur de valeurs nobles et dès qu'on sort du cadre du dojo se comporter en goujat, qui plus est avec d'autres aïkidokas ?
C'est pourtant ce que l'on observe ici.

2 / Pour se donner de l'importance (parfois même à leurs propres yeux) certains se font plus califes que le calife...
Certains petits professeurs ne brillant pas par leurs niveaux mais flattés par les encouragements et les compliments (mesurés) "de leur grand maître", se sentent pousser des ailes.
Jusque là plutôt médiocres, ils se métamorphosent soudainement en donneurs de leçons, attitude que le calife lui-même n'a jamais adoptée.
Malheureusement pour eux il ne suffit pas de se couper les cheveux ou de changer d'aspect physique pour ne plus être cons.
                                                                    
3 / Culture et confiture, moins on en a plus on l'étale...
C'est un autre triste constat : les gogos ne manquent pas face à ces mini gourous locaux puisqu'au vu de leurs effectifs ces usurpateurs réussissent parfois à avoir un certain succès.
Cela n'honore pas l'authentique maître situé tout en haut de la pyramide car il se révèle incapable de contrôler les déviances d'élèves pourtant proches, qui nuisent à son image, celle de l'aïkido et à de nombreux pratiquants honnêtes.
Il suffit de tomber sur des forums consacrés à l'aïkido pour se rendre compte à quel point ses petits soldats tout en parlant en son nom, donnent libre cours à leurs pitoyables élucubrations. Evidemment, tout cela "sous un courageux anonymat"... 

Ils ramènent leur prétendue science en parlant comme des livres mais ne font que singer leur professeur sans avoir rien compris à l'aïkido du fondateur Ueshiba Morihei.

 

mardi 22 juillet 2014

Aïkido traditionnel, quand les deshi prennent le pouvoir et annihilent le travail du maître

L'activité de notre association est suspendue 

Les cours se poursuivent désormais dans un cadre privé et libre, réellement autonome et indépendant car nous ne voulons plus jamais :
- être asservis à aucun système ni organisation quels qu'ils soient
- être dépendants de qui que ce soit et surtout
- être contactés par des mini gourous singeant pitoyablement leur maître, sans état d'âme ni aucun talent excepté celui d'un laquais au service de son souverain, et encore...
Nous on veut faire de l'aïkido un point c'est tout et c'est déjà beaucoup.

En outre, quand les contraintes liées à la structure et le temps perdu pour les démarches et blablas administratifs constituent les 4/5e du temps consacré à l'aïkido, il y a un réel problème et nous n'acceptons plus ces jougs technocratiques. 

De graves évènements survenus lors du 1er semestre 2014 nous ont amenés aux constats suivants : 

Pratiquer aujourd'hui un art martial n'a aucun sens si on n'inclut pas les valeurs morales et philosophiques qui y sont liées.   
Bien que de nos jours cela paraisse désuet aux yeux de certains, nous avons le plus grand respect en la parole donnée et les engagements réciproques, même s'ils ne sont que tacites.
Un minimum de qualité relationnelle est nécessaire, à tous les niveaux de la pyramide, pour qu'un dojo puisse fonctionner correctement.

La relation maître-élève et un haut niveau de connaissances de l'aïkido sont parmi les qualités que nous avons le plus appréciées de notre Ecole, essentiellement présentes chez son fondateur et deux de ses plus anciens collaborateurs (et élèves) que nous connaissons.  
Mais tout cela c'était avant... 

Au sujet de la structure à laquelle nous avons été liés (avec bonheurs) pendant 16 ans 

En aïkido on doit être fidèle à son maître, à son dojo et évidemment à la discipline.
Cette loyauté ne peut exister que si elle est réciproque entre le maître et son élève ("dans le passé on signait cet engagement par les liens du sang").
La loyauté est liée à la confiance, celle-ci ne pouvant se mériter et se conserver qu'au fil des expériences et des relations. 
Notamment, il ne doit pas y avoir des différences de traitements flagrantes entre les pratiquants.                           

Entre lavage de cerveau et nécessité de dé-formatage,
où le discours "traditionnel" authentique se situe t-il ? 

Appartenir à une structure impose d'en accepter les règles. Nous sommes donc rentrés dans le moule et avons comme on dit, joué le jeu avec conviction et sincérité pendant 16 ans, parce que le discours de son patron était cohérent.

Mais quand des règles de fonctionnement "liées à la tradition" sont énoncées (et forcément acceptées par les adhérents/pratiquants) et qu'elles sont fréquemment changées pour leur contraire on ne peut que s'interroger sur l'authenticité de l'ensemble de la construction et c'est d'autant plus désopilant qu'il n'y a à aucun moment place au dialogue, encore moins à la discussion. Même donner son avis expose à une mise au banc, au mieux vous fait considérer comme suspect ou potentiel fouille-merde.    

Le chef a toujours raison donc ses chefaillons aussi, on apprend ça dès les premiers pas dans le monde professionnel...
Par contre quand on a une bonne idée ce n'est plus la notre mais celle du chef.

Soulignons que nous n'avons jamais voulu tirer gloire ni même reconnaissance de notre travail alors que sans rire, certains charlots n'ont pas hésité à en revendiquer la paternité sans avoir aucunement levé le petit doigt. C'est ainsi qu'ils ont récupéré des lauriers afin d'embellir leur image, se faire mousser et obtenir "des médailles".
Se faire déposséder à répétition finit par être très irritant (les exemples sont nombreux).  

Ne plus être autorisé à penser par soi-même 

Cet environnement fait de contraintes répétées, d'interdits et de situations frustrantes font qu'au bout de quelque temps on est tellement conditionné qu'il nous est impossible de se projeter en dehors du système.
Ce dernier tient d'ailleurs du système Pavlovien (basé sur les récompenses*) et il est si efficace qu'il produit des éléments encore plus extrêmes que le maître lui-même. 
A une certaine période de notre histoire, certains étaient plus pétainistes que le sieur Philippe lui-même et sous un certain aspect cela rappelle aussi le syndrome de Stockholm.

Un fonctionnement de type sectaire (le maître édicte, les adeptes s'inclinent ou s'éjectent) et comportant des zones plus ou moins "secrètes" est incompatible avec nos concepts. 

* système évidemment dénoncé et honni quand il est constaté chez les autres...  

Des interdits choquants et révélateurs (suite)

Nous avons été interpelés sur la présence sur notre site web (présence pourtant anodine) de noms d'aïkidokas n'appartenant pas à notre école. De façon à peine déguisée, on nous a fait comprendre que cela pouvait être interprété comme un signe d'infidélité envers notre maître et son école ; dit autrement on était des félons...

Un tel degré de stupidité et d'intolérance nous a laissé pantois, d'autant que cela ne remettait nullement en cause notre attachement à l'aïkido traditionnel et au maître que nous avions choisi.
Jusqu'au terme "amitié" qu'on nous a invité à proscrire (comme s'il s'agissait d'une vulgarité ou d'une attitude incongrue dans le cadre d'un dojo) alors qu'il eut suffi d'expliquer les règles ; comme dans toute autre activité s'exerçant "en groupe" chacun doit connaître sa place et la relation hiérarchique peut différer selon les circonstances et le milieu (les prétendus férus de culture japonaise devraient savoir ça puisque c'est l'un de ses traits). 

Pensée unique, Modèle unique, voie unique... 

Chaque individu, chaque pratiquant possède sa personnalité et son parcours et ce sont les diversités qui créent la richesse. Appartenir à une structure traditionnelle ne doit pas imposer de se comporter en clone. Affirmer que le contraire nuit à l'image du maître à qui l'on devrait totale dévotion et abstraction de soi est despotique et relève de la paranoïa.

En se comportant ainsi de façon tyrannique, il semble que certains aient du mal à accepter que l'époque des cerfs, des tsars et des moujiks soit révolue.  

Tout comme les politicars, constance et inconstances, selon les oracles... 

Tergiversations, volte-face, attitudes contradictoires genre M. pédalo...on nous cite de grandes théories du style qu'une erreur de jugement peut coûter la vie, mais les comportements de certains qui devraient être des modèles constituent de criants contre exemples.
Quelques exemples de discours modifiés avec le temps : au sujet des grades et des diplômes, des stages, de la gestion des sites web des dojos et celle de leurs images mises en ligne (!), les rapports avec les pratiquants des autres courants, écoles et maîtres d'aïkido ou techniciens ou connus comme tels, etc. etc. 
Il est normal qu'une opinion puisse évoluer, notamment "en l'adaptant au monde moderne" (formule passe-partout qui nous a été servie pour justifier leur discours), mais pour une organisation liée à un art traditionnel cela peut parfois être ubuesque, surtout quand il ne s'agit que de stratégies de marketing ou des réponses à un environnement concurrentiel.
C'est bien connu seuls les imbéciles ne changent jamais d'avis et se tromper est formateur pourvu qu'on ne reproduise pas l'erreur. Cela ne doit pas servir d'alibi pour tout se permettre et encore moins couvrir les dérives de comportement.
Changer les règles de façon autoritaire et opportuniste est fréquent dans notre société d'aujourd'hui.
L'aïkido devrait être épargné de ces pratiques si l'on veut préserver ses valeurs.  

Des dojos prétendument autonomes (cherchez l'erreur...*) 

L'autonomie des dojos, tellement mise en avant dans les discours traditionnalistes, n'a d'autonomie que le terme car comme le disait Gainsbourg, la liberté est liée à la longueur de la corde, de la laisse devrait on plutôt dire ici.

Dans les faits beaucoup d'éléments liés à la structure et au maître qui la dirige déterminent l'aura dégagée par un dojo, donc sa fréquentation et son succès mais aussi parfois sa survie.

Ajoutés aux contraintes administratives et aux courbettes diverses conditionnant l'hébergement du dojo, il ne reste plus grand chose de nos libertés et quand on en prend conscience la situation peut devenir insupportable. 

*Petit rappel sémantique (source wikipedia)
Autonomie : du grec autos, soi-même et nomos, loi, règle.
Hétéronomie : fait de ne pas être autonome, d'obéir à des lois extérieures. 

Quand soto deshi du maître se traduit dans certaines petites têtes en
vindictes, interprétations personnelles, langages outranciers et débordements égocentriques, on est bien loin de la définition d'origine...et de l'aïkido 

Une poignée de gus (se prétendant mandatés) fantasment en voulant régenter la vie des dojos, ce qui est inacceptable. Surtout quand on n'a jamais eu besoin de personne pour gérer sa pratique (depuis 1966) et ses dojos.
Pour rappel, notre dojo lorsqu'il était en région parisienne, en était le plus important en termes d'effectifs sans qu'on n'ait jamais eu besoin "des conseils" de jeunos aux dents longues évoluant dans le proche cercle du maître pour en arriver là... 

Recevoir des invectives est à jamais inconcevable 

Rappelons également qu'à ce jour, plus de 400 aïkidokas sont venus pratiquer sur nos tatamis (en une quinzaine d'années), dont certains faisaient 50km de trajet (x 2), d'autres devant traverser tout Paris.
S'il en était besoin n'est-ce pas là, parmi bien d'autres, une preuve de qualité de nos cours et de notre accueil ?
Certains incompétents auraient-ils pris ombrage ?   

En aïkido traditionnel, on se targue d'une transmission "de maître à élève" 

Pourtant certains élèves évoluant dans le premier cercle du maître se permettent d'interférer dans son enseignement en tentant d'intervenir dans la gestion de dojos où ils n'ont jamais mis les pieds et où ils sont totalement inconnus.
Ils se la pêtent en affichant ostensiblement grade, titre redondant et lien avec le maître afin de donner crédit à leurs discours personnels.   
En polluant ainsi gravement le message du maître, ce type de comportement est destructeur et nuit irréversiblement à son image donc à la structure toute entière.

Tels des technocrates, ils prétendent diffuser des politiques de conduite décidées en commissions, à l'opposé de ce que l'on devrait attendre d'une organisation traditionnelle. 
Il en ressort pour nous un sentiment amer de trahison qui conduit à un énorme gâchis.

 Une forme et une fréquence des invectives s'apparentant à du harcèlement
 
Les attaques volontairement frontales dont nous avons été l'objet sont, elles aussi, en opposition totale avec le principe premier de l'aïkido. 

Pour finir, nous avons été extrêmement choqués par les méthodes de communication et le ton employés qui ne peuvent en aucun cas être compatibles avec l'esprit de l'aïkido et celui de la camaraderie hors dojo.
Nous en avons été particulièrement meurtris. 
 
Les discriminations dont nous avons été l'objet ne nous empêcheront pas de pratiquer toujours l'aïkido, ailleurs, autrement, en rejoignant de véritables aïkidoka respectueux des rapports humains et de l'éthique. 

On ne vit pas dans un monde bisounours on le sait tous, mais l'ABC des relations commence par courtoisie et respect, deux termes qui semblent inconnus de certains personnages se présentant comme "des cadres" de l'école, mais qui se révèlent lamentables et uniquement capables de détruire.

A force d'aller trop à l'ouest on se retrouve à l'est... 

Afin de tenter d'intimider ou de faire entrer dans le rang (selon leurs désiratas du jour), ces chiens de meute ont dévoilé leurs véritables profiles tordus en faisant feu de tout bois sans aucun scrupule.

Langage vindicatif et excessif (perte de self control), termes inappropriés, expressions déplacées et même menaces verbales ont démontré le peu de respect qu'ont ces prétendus soto deshi vis à vis de leurs collègues aïkidokas, quand bien même ces derniers se sont-ils investis depuis des décennies et alors même que ces trouducs n'étaient pas encore nés.

Précisons que la méthode employée (téléphone et messagerie) est extrêmement intrusive car elle intervient alors qu'on est matériellement dans notre sphère privée, comme si nos investissements bénévoles ne suffisaient pas. 

"Chacun doit connaître sa place exacte" 

Que ces agents destructeurs soient des incompétents ou des usurpateurs, quoiqu'il en soit ils ne sont pas à leurs places c'est le moins que l'on puisse dire. 
 
Un paradoxe inacceptable 

Les professeurs bénévoles sont tous des passionnés de leur discipline, notamment en aïkido.
Ils s'investissent souvent sans limites, y laissent parfois des plumes sur le plan financier et consacrent une part importante de leur temps libre à leur dojo et aux pratiquants.
Le comble c'est que ce sont fréquemment des personnes rémunérées mais détentrices d'aucun pouvoir hiérarchique qui, ne craignant pas le grotesque, prétendent vouloir donner des ordres et en demander encore plus !
C'est bien connu, plus c'est gros plus ils pensent que ça va être accepté et effectivement avec certains ça fonctionne (comportement d'adepte soumis). 

Epilogue 

De tout ce qui précède nous avons pris bonne note et de nombreuses conséquences en découlent aujourd'hui, pour la plupart négatives.

L'univers de l'aïkido est une nouvelle fois sali par une poignée d'arrogants irresponsables, malheureusement cautionnés semble t-il, par le silence assourdissant du haut de la pyramide.
 
 
 

samedi 28 juin 2014

Loyauté à sens unique

En aïkido on doit être fidèle à son maître, à son dojo et évidemment à la discipline.
Cette loyauté ne peut exister que si elle est réciproque entre le maître et son élève (dans le passé on signait cet attachement réciproque par les liens du sang).

Il ne doit pas non plus y avoir de différences de traitements flagrantes entre les pratiquants.

Par ailleurs quand des règles de fonctionnement "liées à la tradition" sont énoncées (et forcément acceptées par les adhérents-pratiquants) et qu'elles sont continuellement changées pour leur contraire, on ne peut que s'interroger sur l'authenticité de l'ensemble de la construction et c'est d'autant plus déroutant qu'il n'y a à aucun moment place à la discussion, encore moins à la contestation. Même donner son avis expose à une mise au banc, au mieux vous fait considérer comme suspect ou potentiel fouille-merde.    
Le chef a toujours raison (donc ses chefaillons aussi), on apprend ça dès les premiers pas dans le monde professionnel...
Au bout de quelque temps, on est tellement conditionné qu'il nous est impossible de se projeter en dehors du système.
Cela rappelle le syndrome de Stockholm ou un certaine période de notre histoire où certains étaient plus pétainistes que le sieur Philippe lui-même...


Quelques exemples de discours modifiés avec le temps : au sujet des grades et des diplômes, des stages, de la gestion des sites web des dojos et celle de leurs vidéos mises en ligne, les rapports avec les pratiquants des autres courants, écoles et maîtres d'aïkido ou techniciens ou connus comme tels, etc. etc.
Il est normal qu'une opinion puisse évoluer, notamment "en l'adaptant au monde moderne", mais pour une organisation d'art Traditionnel cela peut parfois être déroutant, surtout quand il ne s'agit que de stratégies de marketing ou des réponses à un environnement concurrentiel.
C'est bien connu seuls les imbéciles ne changent jamais d'avis et se tromper est formateur pourvu qu'on ne reproduise pas l'erreur, mais cela ne doit pas tout excuser. Même si le propre de l'aïkidoka est de pouvoir s'adapter, les professeurs de dojos (élèves du maître) ne sont pas des girouettes manipulables à l'envie, tels des adeptes de secte lobotomisés.


L'autonomie des dojos, tellement mise en avant dans les discours traditionnalistes, n'a d'autonomie que le terme car comme le disait Gainsbourg, la liberté est liée à la longueur de la corde, de la laisse devrait on plutôt dire ici. Car dans les faits beaucoup d'éléments liés à la structure et au maître qui la dirige déterminent l'aura dégagé par un dojo, donc sa fréquentation et son succès mais aussi parfois sa survie.
Une poignée de gus (soit disant mandatés) prétend vouloir régenter la vie des dojos ce qui est inacceptable, surtout quand on n'a eu besoin de personne pour gérer sa pratique et ses dojos pendant de nombreuses années.
En aïkido traditionnel, la transmission est censée se faire de maître à élève.
Pourtant certains élèves évoluant dans le premier cercle du maître se permettent d'interférer dans son enseignement en tentant d'intervenir dans la gestion de dojos où ils n'ont jamais mis les pieds et où ils sont totalement inconnus.
Ce type de comportement est destructeur et nuit irréversiblement à l'image du maître donc de la structure toute entière. Il laisse un sentiment amer de trahison et conduit à un énorme gâchis.


Pour finir, nous avons été extrêmement choqués par "les méthodes de communication" et le ton employés qui ne peuvent en aucun cas être compatibles avec l'esprit de l'aïkido et celui de la camaraderie hors dojo.
Nous en avons été particulièrement meurtris.
Cela ne nous empêchera pas de pratiquer toujours l'aïkido, ailleurs, autrement, avec de véritables aïkidoka respectueux des rapports humains et de l'éthique.
 

lundi 23 juin 2014

Le noble et traditionnel aïkido n'est plus. L'art de détruire suite...

Est-ce parce que de nombreux élèves directs de Ô sensei ont disparu ces dernières années (dont en France MeTamura), l'univers de l'aïkido part complètement en vrille.
Guerres de tranchée, stratégies au ras des égouts, aucune approche, fédé ou écoles traditionnelles n'est épargnée. 
Ce climat devenu particulièrement délétère a exacerbé les dirigeants de ces dernières dont certaines sont devenues paranoïaques et tirent sur leurs propres troupes !
On ne fait plus de l'aïkido, on passe son temps à critiquer, surveiller, édicter tout en faisant le contraire de ce que l'on préconise. Bref ce climat est à l'opposé des principes de l'aïkido et il paraît difficile d'être motivé comme on l'était il y a encore quelques années.
Face aux fédérations qui tirent à boulets rouges sur les pratiquants hors fédé, certains dirigeants de structures concurrentes pètent les plombs et font pire en s'attaquant aux aïkidokas à qui ils prêtent une aura trop importante à leurs yeux. C'est ainsi qu'ils en arrivent à imposer des censures  leurs dojos, en faisant des pressions sous diverses formes afin que les sites web, les vidéos et les textes ne viennent pas en concurrence avec le prestige du maître se trouvant en haut de leur pyramide.
Ce sont ces mêmes écoles qui utilisent le plus le mot "liberté" et "autonomie" et pour justifier leurs comportements autoritaires, ils avancent que les dojos ne sont pas autorisés "à faire n'importe quoi". En utilisant cette formule passe partout, ils pensent pouvoir se permettre tous les verrouillages.
Pourtant leurs interdits ne portent pas sur l'aïkido lui-même mais le fonctionnement.
C'est aberrant et particulièrement affligeant ; c'est aussi un immense gâchis pour la discipline car il est de plus en plus fréquent que les pratiquants quittent l'aïkido pour n'importe quelle autre discipline éloignée de ces basses manœuvres.
Comme souvent, c'est une poignée d'individus qui détruisent le travail du plus grand nombre.  

  

L'art de détruire ou les ravages de deshis quand ils se prennent pour des mini gourous

L'étude de l'aïkido n'est utile que si l'on en applique l'ensemble de ses principes dans notre vie quotidienne.
Beaucoup de professeurs d'aïkido sont animés par leur passion, sont bénévoles et portent une part du rêve pacifique de son fondateur Ueshiba Morihei. Quel beau projet que d'utiliser un art martial pour construire l'homme et en faire un outil dans notre vie de tous les jours ?
Pour l'étude, il convient de trouver celui qui en aura la meilleure maîtrise (le maître) ou l'un de ses élèves.
Depuis 1998 notre dojo a suivi l'approche dite "traditionnelle" de l'aïkido (non dépendante d'une fédération sportive franco française), qui nous paraissait être la plus fidèle aux principes originaux.
Prenant appui sur l'enseignement d'un expert reconnu (Alain Peyrache) notre étude et notre pratique se sont en permanence renforcées dans leur cohérence, la maîtrise des bases et des techniques.
Mais le parfait n'étant pas humain, des cadres du 1er cercle du maître ont outrepassé leur autorité et pris des initiatives d'une rare incompétence. De ce fait, ils ont gravement parasité la pratique elle-même et ont fini par détruire sans aucun scrupule le travail de pratiquants anciens et fidèles, et par là leur dojo.
La méthode a consisté à harceler par messagerie et par téléphone de façon  répétée, sur un ton inamical et évidemment inapproprié. 
Ces prétendus aïkidokas confondent autorité et autoritarisme, autonomie et surveillance digne d'un kapo, obligations liées à leur position de deshi et besoin d'assouvir leur ego. 
Préconiser l'harmonie et en coulisses se comporter de façon à créer conflits et ressentiments est à nos yeux peu compatible avec l'esprit de l'aïkido.
Malgré qu'ils revendiquent un rigorisme hérité des samouraïs, ces prétendus détenteurs de vérités disent adapter la discipline aux exigences du monde moderne alors qu'ils œuvrent en fait à protéger le système mis en place et non l'aïkido et ses pratiquants.
Le prosélytisme qu'ils dénoncent chez les autres est pour eux une idée fixe et seuls comptent les intérêts du maître et de son système ainsi que les scores des dojos puisqu'ils affichent les performances des 10 premiers clubs, copiant ainsi les pratiques honteuses des DRH  sauce anglo saxonne !
On est bien loin de la recherche de l'accomplissement personnel du pratiquant (la voie) partout évoquée dans les abécédaires du parfait scarabée (voir littérature prolixe du maître référent).
Tels des laquais lobotomisés soumis à leur souverain, ils diffusent "les bonnes paroles" (en fait celles de leur gourou) et se comportent comme des adeptes sectaires en utilisant d'ailleurs les mêmes méthodes de pressions : propos extrêmement agressifs et violents envers les adhérents (leurs coreligionnaires) , menaces, tentatives d'intimidation, chantages, lavages de cerveau, injures, insultes et propos dégradants, etc.etc.
Le vénéré maître lui-même est-il responsable de ces déviances, est-il au courant et couvre t-il ses acolytes ?
Il est peu imaginable que les dérapages de ses propres troupes soient ignorés, pas plus que les conséquences d'une attitude peu tolérante martelée à toutes occasions et surtout lors des stages.
Certains êtres humains aiment la pensée unique et ne sont capables que de se comporter comme des clones ; ils constituent les proies idéales des meneurs. Quand ces êtres soumis comprennent que leur liberté a été subtilement aliénée, il est souvent bien tard et peu sont capables de se dégager de l'emprise.
Le plus cocasse de cette dramatique situation, c'est que tous ces faits n'ont aucun rapport avec l'aïkido lui-même.
Ce que l'on peut accepter de la part d'un maître (sautes d'humeur, attitude caractérielle ou versatile souvent présents aussi chez d'autres artistes) parce qu'il y a une incontestable contre partie positive, ne l'est certainement pas de la part de ses assistants qui se comportent comme des chiens de meute à l'extérieur de leur dojo.
Présenter notre approche de l'aïkido et défendre nos convictions n'implique pas de transformer nos actions en stratégies de marketing. A tel point qu'on n'évoque plus que notre type de fonctionnement et qu'on n'évoque pratiquement plus l'aïkido lui-même

Un article évoquait déjà ces dérives il y a quelques années :



Quelques mois pour détruire plusieurs décennies d'aïkido

Est-ce parce que de nombreux élèves directs de Ô sensei ont disparu ces dernières années (dont en France MeTamura), l'univers de l'aïkido part complètement en vrille.
Guerres de tranchée, stratégies au ras des égouts, aucune approche, fédé ou écoles traditionnelles n'est épargnée. 
Ce climat devenu particulièrement délétère a exacerbé les dirigeants de ces dernières dont certaines sont devenues paranoïaques et tirent sur leurs propres troupes !
On ne fait plus de l'aïkido, on passe son temps à critiquer, surveiller, édicter tout en faisant le contraire de ce que l'on préconise. Bref ce climat est à l'opposé des principes de l'aïkido et il paraît difficile d'être motivé comme on l'était il y a encore quelques années.
Face aux fédérations qui tirent à boulets rouges sur les pratiquants hors fédé, certains dirigeants de structures concurrentes pètent les plombs et font pire en s'attaquant aux aïkidokas à qui ils prêtent une aura trop importante à leurs yeux. C'est ainsi qu'ils en arrivent à imposer des censures  leurs dojos, en faisant des pressions sous diverses formes afin que les sites web, les vidéos et les textes ne viennent pas en concurrence avec le prestige du maître se trouvant en haut de leur pyramide.
Ce sont ces mêmes écoles qui utilisent le plus le mot "liberté" et "autonomie" et pour justifier leurs comportements autoritaires, ils avancent que les dojos ne sont pas autorisés "à faire n'importe quoi". En utilisant cette formule passe partout, ils pensent pouvoir se permettre tous les verrouillages.
Pourtant leurs interdits ne portent pas sur l'aïkido lui-même mais le fonctionnement.
C'est aberrant et particulièrement affligeant ; c'est aussi un immense gâchis pour la discipline car il est de plus en plus fréquent que les pratiquants quittent l'aïkido pour n'importe quelle autre discipline éloignée de ces basses manœuvres.
Comme souvent, c'est une poignée d'individus qui détruisent le travail du plus grand nombre.    
Grâce à quelques parasites, l'aïkido est devenu un véritable chaos.  Alors on largue et on essaie de trouver ailleurs la sérénité qu'on nous a volée.

lundi 23 avril 2012

Aïkido traditionnel et gobe-mouches


Dans ma région, j'ai le choix entre plusieurs clubs affichant l'enseignement de l'aïkido, dont certains revendiquent le label "traditionnel". Y a t-il un moyen pour faire un tri ?
Pour guider votre choix, il y a un critère très simple qui permet d'emblée d'écarter les clubs qui ne s'adressent qu'aux consommateurs et non à des gens qui veulent pratiquer authentiquement l'aïkido du fondateur. Rappelons qu'un dojo traditionnel ne saurait fonctionner autrement que selon le principe "un maître un dojo", comme au Japon. On est l'élève de maître Untel et non celui d'une fédération.
Pour vous donner un exemple de déviance totale...
Chacun sait qu'il existe en France 2 fédérations, toutes deux avides d'attirer "le client". Malgré leurs rivalités devenues légendaires, certains clubs qui leur sont rattachés - nous disons bien clubs et non dojos - vont même jusqu'à proposer des accès "tous azimuts".
Cela signifie qu'en vous inscrivant à un seul de leurs clubs, vous avez la possibilité de pratiquer non seulement dans ceux de la FFAB mais aussi ceux de la FFAAA de la région et vice versa.
Que reste t-il de cette notion "un maître un dojo" ? rien.
Par cette attitude, les clubs s'apparentent ouvertement à une enseigne à succursales multiples, du genre gymnas' club. Cela signifie bien que leurs professeurs sont interchangeables et ne fait que confirmer que tous suivent "une méthode nationale" (franco-française et donc locale). C'est l'aveu de la pratique d'un aïkido totalement appauvri à l'opposé de ce qu'a voulu créer son fondateur et c'est ce que nous, pratiquants d'un aïkido traditionnel, ne voulons pas.
De surcroit, le consommateur lambda (à qui ces fédé auront bien pris soin d'occulter toutes ces notions de tradition orientale) va se trouver pris dans l'engrenage occidental d'une possible surconsommation de professeurs et de clubs. Or ce n'est pas une accumulation de professeurs qui feront de lui un bon aïkidoka, cela n'a aucun sens.
Ces notions de tradition orientale ne sont du reste pas seulement occultées, elles sont le plus souvent tout simplement ignorées de la plupart des professeurs des fédérations, puisqu'ils sont formatés à l'occidental voir pire...à la française.
Dans notre dojo les pratiquants n'ont pas l'autorisation d'aller pratiquer ailleurs, sauf visites ponctuelles et avec l'accord des professeurs. Cette attitude est du reste la même que celle que l'on pourrait avoir face à d'autres disciplines, le but étant davantage relationnel que réellement utile pour progresser dans la pratique de l'aïkido.
Chez nous, nos pratiquants revendiquent leur attachement à leur seul et unique dojo et ne vont pas voir ailleurs. C'est celui qu'ils ont choisi avec ce professeur là et pas un autre. Ceux qui ne sont pas satisfaits du nombre restreint de "créneaux" ne viennent pas chez nous, personne ne les y oblige.
Il faut savoir également que ce n'est pas le nombre de cours proposés qui font leur qualité. En outre, c'est pas parce qu'on aura la possibilité de pratiquer tous les jours de la semaine (peut-être dans 7 clubs différents donc 7 prof eux aussi différents) qu'on assimilera plus vite ou mieux, c'est tout le contraire. A moins de n'apprendre que des techniques "nationales" (...mais heureusement l'aïkido c'est pas que des techniques).
Il s'avère de plus que la majorité des "pratiquants" ne vont au-delà d'un cours ou 2 par semaine, même si leur dojo en propose davantage.
Comme on le voit, cette possibilité d'adhérer à un club "à succursales multiples" n'est pas l'aïkido et ne présente que de nombreux aspects pervers.
C'est le dernier des gobe mouches présenté aux gogos pour les détourner d'une pratique authentique dans un véritable dojo traditionnel, c'est à dire généralement non apparenté à une fédération franco française.
Mais chacun est libre...

Le but du Taïkido et de l'Aïkido traditionnel


Notre but n'est pas de corriger les autres mais de se corriger soi-même.
On ne cherche pas à être LE meilleur mais meilleur qu'il y a 1/4 d'heure, 1 jour, 1 an...les progrès sont donc infinis.
Notre ambition n'est pas non plus d'améliorer la race humaine en cherchant à être toujours plus fort, plus rapide, plus musclé, plus quelque chose car ça n'apporte rien à l'Individu si ce n'est que renforcer son égo ou développer son narcissisme.
Etre un champion reste éphémère et quand on ne l'est plus ça déclenche un sentiment de frustration.

Taïkido et lâches critiques

L’aïkido est l’une des disciplines traditionnelles étudiées au sein du Taïkido, notamment dans notre dojo de Montluçon.

Le Taïkido semble déranger certains esprits fermés car il a été constaté sur la toile que cet art faisait l’objet de commentaires violents et erronés de la part d’un certain pseudo maître, en contradiction avec l’éthique que celui-ci semble pourtant revendiquer au travers ses sites.

Il est aberrant que cette personne, qui se présente comme un fin érudit de l’univers des arts martiaux, émette des opinions sur le taïkido alors que jamais :
- aucun contact ni échanges n’ont jamais eu lieu
- aucune visite au dojo

- encore moins aucune pratique sur les tatamis

C’est dire le peu de sérieux des propos émis sur certains de ces blogs qu’on pourrait qualifier de torchons.
En outre, certains avis émis sont de nature diffamante ce qui pourrait rappelons-le, faire l’objet de procédures judiciaires, d’autant plus que les droits de réponses qui ont été exercés se sont vus censurés puisque non diffusés, au mépris de la loi.

En ce qui nous concerne, nous ne portons aucune opinion sur les disciplines qui ne sont pas les nôtres, donc que nous ne connaissons pas, et nous avons déjà beaucoup à faire avec le Taïkido.

Ce pseudo érudit a un comportement de nature à le discréditer lui-même et c’est tant mieux pour nous.
Notamment, il préconise l’étude de multiples disciplines martiales, ce qui est la garantie de n’en maîtriser jamais aucune.
L’une des bases de l’aïkido (inclus dans le taïkido) est l’acceptation.
C’est aussi la seule discipline présentant cette approche.
Dès lors comment concilier l’étude et la pratique d’autres disciplines ? !
C’est l’une des aberrations criantes des avis émis par ce pseudo maître et il y en a bien d’autres, que nous ne nous autorisons pas de publier, par élégance et respect, notions inconnues de ce pseudo maître.

Chacun est libre de vouloir faire de l’aïkido et de faire tout son contraire mais on n’a pas le droit de nuire, volontairement ou non.
On peut porter une opinion sur un sujet mais après l’avoir étudié, ce qui n’est pas le cas de ce pseudo maître puisqu’il n’a jamais eu la moindre volonté de se rapprocher de nous ou de notre dojo.
Comme disait mon professeur « plus la carte de visite est longue, et plus son détenteur en a besoin pour apporter crédit à son prétendu statut ».
Ce personnage, pseudo maître à la critique facile, étale au fil de ses pages, pedigree, décorations, références, liens avec des personnalités, etc.
Il décline tous ses grades, un à un, comme si les titres pouvaient être garants d’une quelconque qualité, surtout quand les termes employés sont quasi inconnus de la plupart.
Il se qualifie de « humble » mais il doit en ignorer la signification.

En ce qui nous concerne, nous n’avons aucune prétention.

Notre seule ambition est d’apporter un plus quotidien à chacun de nos pratiquants et qu’ils trouvent leur propre voie (do) vers l’autonomie.
Tout le reste est blablas, que ce pseudo maître ne maîtrise même pas correctement.

Nous ne cherchons pas à convaincre que notre approche est LA meilleure, ni qu’elle est universelle.
Nous proposons seulement de venir nous rencontrer, d’essayer et de rester étudier et pratiquer avec nous si c’est le souhait, chacun étant libre de partir à tout moment.

Bien que le site internet du dojo de Montluçon présente parfaitement ce qu’est le Taïkido, cela ne reste que des mots alignés sur un écran et ne remplace évidemment pas l’expérience et le ressenti, ce que nous proposons sous forme d’invitations permanentes, nos portes étant grandes ouvertes à quiconque de sincère est intéressé par notre discipline.
Ainsi qu’il est expliqué sous de multiples formes, le Taïkido repose sur l’étude et la pratique de disciplines traditionnelles basées sur les notions d’énergie : qi gong, taïchi, kiatsus, seifuku et en ce qui concerne le côté art martial, l’aïkido.
Nous n’avons donc à aucun moment réinventé la roue, ni encore moins eu la prétention de créer un nouvel art martial !
Les clubs d’aïkido fédérés (voir « sportifs ») sont pléthore dans la région de Montluçon.
En créant le TAAMTAM Dojo, notre souhait a été d’apporter une approche globale de nos études, encrée dans la tradition orientale.
L’appellation « Taïkido » nous est apparue comme définissant le mieux celle-ci puisque « Taï » décrit l’Homme sous son aspect physique, mais aussi situé « entre ciel et terre ».

Un autre principe fondamental de notre dojo est de répondre au concept « un maître un dojo », comme au Japon.
Nous comprenons que cette approche puisse irriter les clubs formatés à l’occidentale et surtout franco-français, mais c’est l’une des bases de notre conception d’un dojo, un art martial oriental ne pouvant être étudié authentiquement que dans ce cadre.
A moins de lui ôter tout lien traditionnel mais il conviendrait alors de ne plus faire référence au terme aïkido ; c’est pourtant ce que l’on observe dans la plupart des clubs d’aïkido, pas gênés du tout d’être commandés et dirigés par des cadres nommés par une autorité dépendant de l’état français.
Rappelons les termes du fondateur de l’aïkido : « l’aïkido est l’opposé d’un sport ».
Il ne peut donc fonctionner comme un club sportif.



« Le sage montre la lune avec son doigt, l’imbécile ne voit que le doigt »
 

lundi 1 mars 2010

Etiquette et permissivité

L’aïkido est un art martial difficile et particulièrement exigeant au niveau de l’étiquette, celle-ci étant transmise traditionnellement de maître à élève, d’ancien à plus récent (de sampai à kohai).
Tout acte, tout geste, toute attitude sont codifiés et chaque pratiquant doit connaître sa place dans le dojo.
La totalité de l’étiquette ne s’acquiert qu’au bout de plusieurs mois de pratique (période de l’imitation et du copier/coller) et cela ne signifie pas pour autant que le pratiquant en connaisse toutes les significations.
Chaque détail a sa raison d’être et ne devrait souffrir d’être remis en cause sans risquer le chaos et le dévoiement de la discipline.
En autorisant les écarts, on s’éloigne de la tradition.
En multipliant les tolérances, on devient laxiste et au bout du compte on s’éloigne de l’aïkido et des raisons qui nous amené vers lui : la découverte d’autre chose que notre quotidien, un goût pour une approche orientale, la recherche de sa propre voie, etc.

La démarche de celui qui s’inscrit dans un dojo est souvent celle d’un adhérent de club sportif. Il n’a qu’une idée très vague de la discipline et il est fréquent qu’il n’en connaisse que l’aspect physique et esthétique.
Lorsqu’il en découvre toutes les contraintes il est tenté d’y échapper en déployant d’infinies raisons.
On s’aperçoit très vite qu’il n’est pas aisé de désapprendre et de mettre aussi de côté nos approches occidentales.
Cela nécessite une capacité de se remettre en cause et un certain courage, ce qui n’est pas permis à tout le monde.

Et c’est là que se pose la question : devons-nous remplir nos dojos pour conserver les créneaux que nous a attribué la mairie ou bien devons-nous être intransigeants sur les règles de la discipline et ne conserver que les plus aptes, au risque de ne se retrouver qu’avec une poignée de pratiquants ?
Plaire au plus grand nombre et au final faire autre chose que de l’aïkido ou bien passer pour une discipline élitiste ?

Qu’on le veuille ou non il apparaît très vite qu’un compromis s’impose entre le nombre et la qualité de l’aïkido enseigné, forcément décalé avec le pratiqué.
Dès lors la grande difficulté sera d’harmoniser le groupe où tous les degrés de motivations se côtoient.
C’est aussi pourquoi, lorsque - rarement - le choix des créneaux et le nombre de pratiquants le permettent, certains dojos font des cours « différents » selon les profiles.

vendredi 5 février 2010

Prédations et prédateurs...

La réussite ou l’indifférence attirent souvent l’antipathie de minables jaloux ou de personnages mal dans leur tête et mal dans leur peau, voir ambitieux à moindre coût.
Certains (es) cumulent tous ces jolis profils.

On constate qu'il n’y a pas de limites à la perversité lorsqu’on découvre les stratégies employées par certains, avec la volonté quasi non dissimulée de nuire.

Après les menaces effectuées par l’intermédiaire de messageries électroniques et courriers, les divers détournements malveillants, les menaces et les tentatives de pressions par l’intermédiaire d’élus, il apparaît aujourd’hui que certains fonctionnaires "responsables" pourraient subir eux aussi l’influence de ces mêmes stratèges aux fins de nuire à notre "activité sportive".

Nous avons toujours été droit dans nos botes et c’est sans doute ce qui dérange le plus ceux qui ne savent pas fonctionner autrement que par les réseaux d’influences, les chantages et les délations plutôt qu’en démontrant leurs réelles compétences ou capacités créatrices.

On sait tous que certains personnages troubles à l’aise dans les milieux glauques font des pieds et des mains pour se lier "aux politiques" afin d’en tirer profits et pouvoirs personnels. L’aïkido est à l’opposé de toutes ces magouilles et seul compte pour nous l’honnête chemin que nous nous sommes fixé, visible au travers nos actions et notre discipline.

On constate une fois de plus qu’il existe 3 catégories de citoyens : ceux qui construisent dans l’intérêt de la société (dont font aussi partie les bénévoles), ceux qui consomment, et la troisième qui ne crée rien, ne produit rien, ne propose rien, constituée de prédateurs qui profitent de tous les systèmes et de toutes les opportunités mais qui en même temps critiquent et s’ingénient à démolir afin de justifier à leurs yeux leur minable et stérile existence.

Ce n’est pas en tentant de diminuer les autres que l’on se trouve grandi…

Bien faire, suivre son chemin et laisser dire…mais jusqu’à quel point devrions-nous subir des attaques débiles et répétées en nous taisant sans répliquer ? Cinq années d’attaques sournoises , sporadiques mais constantes, ça fait déjà beaucoup...
Ce n’est pas parce que nous ne sommes jamais entrés dans les « jeux » conflictuels que nous avons été aveugles.
Nous n’avons pas davantage été dépourvus de possibilités de ripostes mais notre philosophie - d’aïkidokas aussi - et notre approche de la relation humaine, ne se situent pas sur le terrain des conflits et encore moins au niveau des égouts.

Le vide n’était-il pas la meilleure réponse ou non-réponse

Le courage ne faisant pas partie des vertus de nos prédateurs, leurs manipulations se font - évidemment - le plus souvent dans l’ombre, lors de rencontres non fortuites et en mettant à profit réunions, cocktails, réseaux dits « sociaux » qui peuvent facilement être pris par les gogos et les naïfs, pour des réseaux d’amis …
Leurs carnets d’adresses et de numéros de téléphones - constitués essentiellement de gens détenteurs d’un pouvoir - sont de véritables bottins et constituent leur principal outil pour tirer les ficelles.

Les tentatives de nuisances sont allées dans toutes les directions, l’imagination perverse et l’acharnement ne connaissant apparemment aucune limite

Nous faisons savoir ici notre indignation car on se croirait revenus au temps des cabales : l’une des dernières trouvailles de ceux qui veulent notre extinction est de tenter de nous asphyxier - notamment en multipliant les obstacles à la promotion de notre club - que nous faisons habituellement tant dans les boites aux lettres que sur divers terrains et supports.

Encore une fois, c’est mal nous connaître car loin de nous laisser museler dans le silence, nous utiliserons chaque fois que possible tous les moyens - y compris les outils internet - pour faire connaître notre activité et notre dojo et dévoiler les coulisses de ceux qui voudraient nous faire mettre un genoux à terre.

Sept fois à terre huit fois debout (proverbe japonais…)

L'aïkido est présent sur la commune depuis plus d'une trentaine d'années, dont les 14 dernières avec le même professeur dans l'équipe d'animation, ce qui est un gage d'engagement et de fidélité.
Parallèlement notre petite ville a vu ces 10 dernières années se multiplier les activités de sport de combat et arts martiaux.

L’aïkido n’étant pas un sport de compétitions, il n’a aucun sponsor et de ce fait ne figure dans aucun média courant : TV, radio, journaux.
C’est pourquoi il est nécessaire pour les clubs d’aïkido comme le notre, d’utiliser affiches, tracts et publications locales, ce que toute personne évoluant dans l’univers de notre discipline n’ignore pas.

Il faut savoir aussi que les hasards dévoilent souvent ce qui se veut être le mieux caché et sans même avoir effectué aucune démarche dans ce sens.

Nous informons ici que le dossier à charge de nos intriguants est épais, bien documenté et qu’une procédure juridique n’est pas à exclure.

Nous souhaitons qu’à l’avenir leurs « réseaux bienveillants » servent au moins à les tempérer.
Ultime conseil et que le message passe bien : qu’on nous laisse tranquilles et qu’on nous laisse pratiquer notre discipline dans la sérénité que visiblement, « on » nous envie.

Boomerang : "il se dit d'un acte qui se retourne contre son auteur : il en va de telles paroles comme des gestes irréparables".

lundi 3 août 2009

Règles de base et Etiquette

Comme dans toute discipline, mais particulièrement en aïkido puisqu’il est art, martial, traditionnel et japonais, il convient de respecter les règles qui l’ont vu naître sous peine de le voir disparaître.
Ces règles sont regroupées sous le terme « d’étiquette » et « de bases ».
Lorsqu’on veut s’inscrire dans un dojo d’aïkido, cela implique d’accepter ces règles faute de quoi il faut aller faire autre chose que de l’aïkido.
On ne peut feindre d’accepter une partie des règles afin de tirer profit d’une partie de l’enseignement et rejeter certains aspects qui ne plaisent pas.
L’aïkido est un tout, au demeurant d’origine orientale, et ses origines remontent à plus d’un siècle…
Personne de sérieux n’aurait l’idée saugrenue de réinventer la roue.
Parmi les règles d’étiquette figure la notion de « nichi jo no taïdo » que l’on peut traduire par « attitude et comportement d’un aïkidoka dans la vie quotidienne ».

En effet à quoi servirait d’étudier l’aïkido, qui est aussi un art de vivre et une philosophie, si l’on se comportait à l’opposé de ce qui est enseigné dès qu’on a quitté le périmètre physique du dojo (généralement situé dans un gymnase).
La toute première règle, du reste évidente quelque soit la discipline pratiquée, est le respect du professeur et de la discipline, qui doit commencer par la plus élémentaire courtoisie.

On ne peut pas manifester un semblant de respect à l’intérieur du dojo et agir complètement différemment dans des actes liés à la vie du dojo (ou du club) sous prétexte qu’ils ne se situent plus dans le contexte physique du gymnase.
"Dans un dojo chacun doit connaître sa place exacte. Pour chaque être, connaître sa place, c'est se connaître soi-même.
Par le respect de cette règle, l'homme peut s'élever.
Il y a une hiérarchie naturelle dans tous les domaines : famille, armée, religions, etc. et bien sur dans le monde du budo : maître, disciple, sempaï, kohaï, dohaï, hauts gradés, débutants, âgés et jeunes…
L'étiquette consiste à déterminer, cas par cas, le juste équilibre.
L'observation de ces règles est la condition de l'équilibre et de la survie des sociétés"
...et les tricheurs sont rapidement identifiables.
Il n’est pas acceptable de la part d’un aïkidoka, pas plus d’ailleurs que d’un membre de club associatif :
- qu’il passe son temps à saper l’enseignement du professeur par des délires exprimés par messagerie électronique ou téléphone auprès des autres élèves et alors même que les cours n’ont plus lieu en raison des congés d’été (par exemple).
- qu’il désavoue la gestion de son dojo
- qu’il remette en cause les orientations de son enseignement
- qu’il remette en cause sa méthode pédagogique
- qu’il emploie des termes à caractère diffamant et/ou dilatoire
- qu’il remette systématiquement en cause le fonctionnement et le concept traditionnels du dojo
- qu’il veuille transformer le dojo en club sportif, en totale opposition avec l’aïkido.
- qu’il veuille imposer à l’ensemble (y compris le prof) ses visions personnelles en prétextant qu’elles sont issues d’une réflexion « démocratique » alors que personne n’a jamais exprimé et encore moins confirmé ses arguties.
- qu’il s’oppose à toute réunion proposée dans le cadre d’un dojo traditionnel (incluant libres réflexions et convivialité) ainsi qu’à l’utilisation d’un « forum » créé sur Internet par le responsable du dojo (non sans prise de risques), outil dédié à la libre expression de chacun...
- qu’il tente de mettre en place une soit disant hiérarchie décisionnelle en contradiction avec la conception d’un dojo composé d’uchi deshi, sempaï, kohaï...
- qu’il invective son professeur afin qu’il suive une formation en bureautique (!)
- qu’il veuille se créer un pouvoir de décisions et autres prérogatives sous couvert de son interprétation personnelle du terme « président d’association », alors qu'il n'est en fait "que" "co-président de section" d’association sportive « multisports » et que le contenu de sa tâche avait été préalablement défini comme étant uniquement de représenter sa section au sein de l'association et auprès des différentes instances municipales).
- qu'il se soit attribué un monopole de contacts extérieurs en tentant d'écarter tout autre membre du dojo, y compris le professeur son responsable.
- qu’il entreprenne des démarches engageant le dojo sans même en avoir informé le professeur et l’ensemble des membres, et encore moins fait participé qui que ce soit dans ses projets personnels, non représentatifs de ceux du dojo et en opposition totale d'une démarche consensuelle qui a toujours guidé notre dojo.
- qu’il s’octroie des titres et/ou qu’il usurpe la fonction du professeur alors qu’il n’a que très peu d’expérience dans la discipline (par exemple à peine 2 ans, c’est pratiquement zéro eu égard à la complexité de l’aïkido qui se veut « discipline de toute une vie ») et qu’il est fermé à toute culture orientale, berceau de l’aïkido.
- qu’il invente et publie des scénarios qui décrivent son professeur sous des traits de personnages particulièrement antipathiques et insultants, évoquant pêle-mêle des épisodes d’Histoire tragique espagnole, le management moderne, les associations sportives…
- qu’il utilise pour cela un ton et des termes ironiques voir sarcastiques particulièrement irrespectueux se situant au niveau des égouts et incitant au "lynchage" du responsable du dojo. En employant "la 3e personne" il fait du reste preuve d'une particulière lâcheté.
- qu’il manifeste une attitude et un comportement visant à créer conflits et dysharmonies
- qu’il conteste pendant les cours et même et surtout en dehors des cours "l’autorité" du professeur
- qu’il veuille transformer en débats toutes décisions du professeur (!)
- qu’il réclame communication des codes d’accès aux différents sites Web du dojo alors qu’il n’a aucune compétence technique pour en gérer les pages et encore moins les connaissances pour en gérer les contenus (fantasme d’en contrôler les substances ?)
- qu’il demande (afin d’en revendiquer la paternité ?) la dépersonnalisation (donc l’anonymat) des médias réalisés par le responsable du dojo et mis en ligne gratuitement afin de promouvoir l’aïkido, le dojo et l'association.
- qu’il tente d’introduire en permanence des notions technocratiques incompatibles avec un art traditionnel.
- qu’il perturbe fréquemment les cours et l’attention des élèves, par des commentaires ou "plaisanteries" déplacés alors que le professeur est en train d’expliquer.
- qu’il témoigne d’un grossier manque de tact lors de la publication d’un article dans la revue de l’association.
- qu’il se substitue fréquemment au professeur présent alors qu’il n’en a nullement été mandaté, faisant ainsi « un cours dans le cours », que ses compétences ne le lui permettent absolument pas et alors que c’est totalement contraire à l’étiquette.
- qu’il encourage (pour ne pas dire harcèle) un groupe d’élèves choisis par lui, à le suivre dans ses délires, voulant créer par là des doutes puis une scission destructrice au sein du dojo ainsi qu'une dégradation de l'ambiance, qui a toujours été jusqu'à ce jour excellente et conviviale.
- par là, qu’il s’acharne à détruire la bonne image du dojo, acquise au fil de ses 11 années d’existence. Cette image a du reste été renforcée dernièrement du fait de la participation du dojo à plusieurs manifestations populaires à succès tant dans la ville qu’à l’intérieur d’établissement scolaire.

En conclusion il n’échappera à personne - même ne connaissant rien à l’univers de l’aïkido - que la présence d’un tel personnage (le terme d'aïkidoka devenant impropre) manifestant autant « d’erreurs » (de perversités serait plus approprié) ne pourrait être accepté dans un club et encore moins dans un dojo d'aïkido, même et surtout s’il n’était que membre non pratiquant ce qui serait un comble et hérésie.

Si l’on se réfère aux 7 plis du hakama représentant les vertus du budo, son port est inapproprié pour des personnages affichant un tel profil !

On peut aussi s’interroger sur les véritables motivations de quelqu’un qui persisterait à s’incruster dans un club après avoir formulé autant de griefs envers son professeur et son dojo, d’autant plus quand on sait qu’il y a pléthores de clubs d’aïkido dans les environs...

Un aïkidoka doit étudier et pratiquer en s'efforçant de créer une ambiance harmonieuse car un dojo doit être un espace privilégié où aucun conflit ne saurait être toléré, pas plus que dans les prolongements entraînés par la gestion du dojo.

C’est aux antipodes des intrigues que certains voudraient infliger à la communauté et dont personne n’a que faire et c’est aussi le chemin le plus sûr pour conduire à l’auto bannissement ; chacun est libre de scier la branche sur laquelle on est assis, mais quelle stupidité et quel gâchis !

Chacun est libre de partir s'il n'est pas d'accord.
Il y a les gens avec qui on peut partager et d'autres avec qui on n'a rien à faire.


Rappel :
Extraits du « Règlement Intérieur » de notre club
(dojo et événements s’y rapportant)

« En signant la fiche d'inscription annuelle, on s'engage à adhérer à l'ensemble du présent règlement.
Il est complété par un ensemble de règles appelées "Etiquette" liées à notre discipline. »

« Le non respect du règlement intérieur et/ou de « l’étiquette » expose à une exclusion temporaire ou définitive »

« …le Responsable du dojo peut prononcer l’exclusion définitive et immédiate de tout membre qui aurait manqué aux règles d’éthique relatives à la pratique de la discipline ou qui aurait eu un comportement, une attitude ou des propos déplacés … »

« art. 3 - Le dojo n'est pas un lieu où s'expriment les conflits personnels, mais un endroit où l'on trouve la possibilité de travailler de manière constructive afin de se bâtir soi-même. Toute personne troublant la sérénité du dojo sera priée de changer d'attitude ou de s'en aller. »

« art.10 - « …Il n'y a aucune place pour la contestation dans le dojo, bien que le pratiquant soit encouragé à développer sa propre vision...En cas de désaccord, le pratiquant garde l'entière liberté de partir. »

« art.32 - « …On ne perturbe pas le cours par des bavardages, c'est souvent inutile, même dans le cadre d'une explication : un geste juste suffit. »