samedi 11 août 2012
lundi 23 avril 2012
Aïkido traditionnel et gobe-mouches
Dans
ma région, j'ai le choix entre plusieurs clubs affichant l'enseignement
de l'aïkido, dont certains revendiquent le label "traditionnel". Y a
t-il un moyen pour faire un tri ?
Pour
guider votre choix, il y a un critère très simple qui permet d'emblée
d'écarter les clubs qui ne s'adressent qu'aux consommateurs et non à des
gens qui veulent pratiquer authentiquement l'aïkido du fondateur.
Rappelons qu'un dojo traditionnel ne saurait fonctionner autrement que
selon le principe "un maître un dojo", comme au Japon. On est l'élève de
maître Untel et non celui d'une fédération.
Pour vous donner un exemple de déviance totale...
Chacun
sait qu'il existe en France 2 fédérations, toutes deux avides d'attirer
"le client". Malgré leurs rivalités devenues légendaires, certains
clubs qui leur sont rattachés - nous disons bien clubs et non dojos -
vont même jusqu'à proposer des accès "tous azimuts".
Cela
signifie qu'en vous inscrivant à un seul de leurs clubs, vous avez la
possibilité de pratiquer non seulement dans ceux de la FFAB mais aussi
ceux de la FFAAA de la région et vice versa.
Que reste t-il de cette notion "un maître un dojo" ? rien.
Par
cette attitude, les clubs s'apparentent ouvertement à une enseigne à
succursales multiples, du genre gymnas' club. Cela signifie bien que
leurs professeurs sont interchangeables et ne fait que confirmer que
tous suivent "une méthode nationale" (franco-française et donc locale).
C'est l'aveu de la pratique d'un aïkido totalement appauvri à l'opposé
de ce qu'a voulu créer son fondateur et c'est ce que nous, pratiquants
d'un aïkido traditionnel, ne voulons pas.
De
surcroit, le consommateur lambda (à qui ces fédé auront bien pris soin
d'occulter toutes ces notions de tradition orientale) va se trouver pris
dans l'engrenage occidental d'une possible surconsommation de
professeurs et de clubs. Or ce n'est pas une accumulation de professeurs
qui feront de lui un bon aïkidoka, cela n'a aucun sens.
Ces
notions de tradition orientale ne sont du reste pas seulement
occultées, elles sont le plus souvent tout simplement ignorées de la
plupart des professeurs des fédérations, puisqu'ils sont formatés à
l'occidental voir pire...à la française.
Dans
notre dojo les pratiquants n'ont pas l'autorisation d'aller pratiquer
ailleurs, sauf visites ponctuelles et avec l'accord des professeurs.
Cette attitude est du reste la même que celle que l'on pourrait avoir
face à d'autres disciplines, le but étant davantage relationnel que
réellement utile pour progresser dans la pratique de l'aïkido.
Chez
nous, nos pratiquants revendiquent leur attachement à leur seul et
unique dojo et ne vont pas voir ailleurs. C'est celui qu'ils ont choisi
avec ce professeur là et pas un autre. Ceux qui ne sont pas satisfaits
du nombre restreint de "créneaux" ne viennent pas chez nous, personne ne
les y oblige.
Il
faut savoir également que ce n'est pas le nombre de cours proposés qui
font leur qualité. En outre, c'est pas parce qu'on aura la possibilité
de pratiquer tous les jours de la semaine (peut-être dans 7 clubs
différents donc 7 prof eux aussi différents) qu'on assimilera plus vite
ou mieux, c'est tout le contraire. A moins de n'apprendre que des
techniques "nationales" (...mais heureusement l'aïkido c'est pas que des
techniques).
Il
s'avère de plus que la majorité des "pratiquants" ne vont au-delà d'un
cours ou 2 par semaine, même si leur dojo en propose davantage.
Comme
on le voit, cette possibilité d'adhérer à un club "à succursales
multiples" n'est pas l'aïkido et ne présente que de nombreux aspects
pervers.
C'est
le dernier des gobe mouches présenté aux gogos pour les détourner d'une
pratique authentique dans un véritable dojo traditionnel, c'est à dire
généralement non apparenté à une fédération franco française.
Mais chacun est libre...
Le but du Taïkido et de l'Aïkido traditionnel
Notre but n'est pas de corriger les autres mais de se corriger soi-même.
On ne cherche pas à être LE meilleur mais meilleur qu'il y a 1/4 d'heure, 1 jour, 1 an...les progrès sont donc infinis.
Notre
ambition n'est pas non plus d'améliorer la race humaine en cherchant à
être toujours plus fort, plus rapide, plus musclé, plus quelque chose
car ça n'apporte rien à l'Individu si ce n'est que renforcer son égo ou
développer son narcissisme.
Etre un champion reste éphémère et quand on ne l'est plus ça déclenche un sentiment de frustration.
Libellés :
aikido montlucon,
arts martiaux montlucon,
taikido montlucon
Taïkido et lâches critiques
L’aïkido est l’une des disciplines traditionnelles étudiées au sein du Taïkido, notamment dans notre dojo de Montluçon.
Le Taïkido semble déranger certains esprits fermés car il a été constaté sur la toile que cet art faisait l’objet de commentaires violents et erronés de la part d’un certain pseudo maître, en contradiction avec l’éthique que celui-ci semble pourtant revendiquer au travers ses sites.
Il est aberrant que cette personne, qui se présente comme un fin érudit de l’univers des arts martiaux, émette des opinions sur le taïkido alors que jamais :
- aucun contact ni échanges n’ont jamais eu lieu
- aucune visite au dojo
- encore moins aucune pratique sur les tatamis
C’est dire le peu de sérieux des propos émis sur certains de ces blogs qu’on pourrait qualifier de torchons.
En outre, certains avis émis sont de nature diffamante ce qui pourrait rappelons-le, faire l’objet de procédures judiciaires, d’autant plus que les droits de réponses qui ont été exercés se sont vus censurés puisque non diffusés, au mépris de la loi.
En ce qui nous concerne, nous ne portons aucune opinion sur les disciplines qui ne sont pas les nôtres, donc que nous ne connaissons pas, et nous avons déjà beaucoup à faire avec le Taïkido.
Ce pseudo érudit a un comportement de nature à le discréditer lui-même et c’est tant mieux pour nous.
Notamment, il préconise l’étude de multiples disciplines martiales, ce qui est la garantie de n’en maîtriser jamais aucune.
L’une des bases de l’aïkido (inclus dans le taïkido) est l’acceptation.
C’est aussi la seule discipline présentant cette approche.
Dès lors comment concilier l’étude et la pratique d’autres disciplines ? !
C’est l’une des aberrations criantes des avis émis par ce pseudo maître et il y en a bien d’autres, que nous ne nous autorisons pas de publier, par élégance et respect, notions inconnues de ce pseudo maître.
Chacun est libre de vouloir faire de l’aïkido et de faire tout son contraire mais on n’a pas le droit de nuire, volontairement ou non.
On peut porter une opinion sur un sujet mais après l’avoir étudié, ce qui n’est pas le cas de ce pseudo maître puisqu’il n’a jamais eu la moindre volonté de se rapprocher de nous ou de notre dojo.
Comme disait mon professeur « plus la carte de visite est longue, et plus son détenteur en a besoin pour apporter crédit à son prétendu statut ».
Ce personnage, pseudo maître à la critique facile, étale au fil de ses pages, pedigree, décorations, références, liens avec des personnalités, etc.
Il décline tous ses grades, un à un, comme si les titres pouvaient être garants d’une quelconque qualité, surtout quand les termes employés sont quasi inconnus de la plupart.
Il se qualifie de « humble » mais il doit en ignorer la signification.
En ce qui nous concerne, nous n’avons aucune prétention.
Notre seule ambition est d’apporter un plus quotidien à chacun de nos pratiquants et qu’ils trouvent leur propre voie (do) vers l’autonomie.
Tout le reste est blablas, que ce pseudo maître ne maîtrise même pas correctement.
Nous ne cherchons pas à convaincre que notre approche est LA meilleure, ni qu’elle est universelle.
Nous proposons seulement de venir nous rencontrer, d’essayer et de rester étudier et pratiquer avec nous si c’est le souhait, chacun étant libre de partir à tout moment.
Bien que le site internet du dojo de Montluçon présente parfaitement ce qu’est le Taïkido, cela ne reste que des mots alignés sur un écran et ne remplace évidemment pas l’expérience et le ressenti, ce que nous proposons sous forme d’invitations permanentes, nos portes étant grandes ouvertes à quiconque de sincère est intéressé par notre discipline.
Ainsi qu’il est expliqué sous de multiples formes, le Taïkido repose sur l’étude et la pratique de disciplines traditionnelles basées sur les notions d’énergie : qi gong, taïchi, kiatsus, seifuku et en ce qui concerne le côté art martial, l’aïkido.
Nous n’avons donc à aucun moment réinventé la roue, ni encore moins eu la prétention de créer un nouvel art martial !
Les clubs d’aïkido fédérés (voir « sportifs ») sont pléthore dans la région de Montluçon.
En créant le TAAMTAM Dojo, notre souhait a été d’apporter une approche globale de nos études, encrée dans la tradition orientale.
L’appellation « Taïkido » nous est apparue comme définissant le mieux celle-ci puisque « Taï » décrit l’Homme sous son aspect physique, mais aussi situé « entre ciel et terre ».
Un autre principe fondamental de notre dojo est de répondre au concept « un maître un dojo », comme au Japon.
Nous comprenons que cette approche puisse irriter les clubs formatés à l’occidentale et surtout franco-français, mais c’est l’une des bases de notre conception d’un dojo, un art martial oriental ne pouvant être étudié authentiquement que dans ce cadre.
A moins de lui ôter tout lien traditionnel mais il conviendrait alors de ne plus faire référence au terme aïkido ; c’est pourtant ce que l’on observe dans la plupart des clubs d’aïkido, pas gênés du tout d’être commandés et dirigés par des cadres nommés par une autorité dépendant de l’état français.
Rappelons les termes du fondateur de l’aïkido : « l’aïkido est l’opposé d’un sport ».
Il ne peut donc fonctionner comme un club sportif.
« Le sage montre la lune avec son doigt, l’imbécile ne voit que le doigt »
Le Taïkido semble déranger certains esprits fermés car il a été constaté sur la toile que cet art faisait l’objet de commentaires violents et erronés de la part d’un certain pseudo maître, en contradiction avec l’éthique que celui-ci semble pourtant revendiquer au travers ses sites.
Il est aberrant que cette personne, qui se présente comme un fin érudit de l’univers des arts martiaux, émette des opinions sur le taïkido alors que jamais :
- aucun contact ni échanges n’ont jamais eu lieu
- aucune visite au dojo
- encore moins aucune pratique sur les tatamis
C’est dire le peu de sérieux des propos émis sur certains de ces blogs qu’on pourrait qualifier de torchons.
En outre, certains avis émis sont de nature diffamante ce qui pourrait rappelons-le, faire l’objet de procédures judiciaires, d’autant plus que les droits de réponses qui ont été exercés se sont vus censurés puisque non diffusés, au mépris de la loi.
En ce qui nous concerne, nous ne portons aucune opinion sur les disciplines qui ne sont pas les nôtres, donc que nous ne connaissons pas, et nous avons déjà beaucoup à faire avec le Taïkido.
Ce pseudo érudit a un comportement de nature à le discréditer lui-même et c’est tant mieux pour nous.
Notamment, il préconise l’étude de multiples disciplines martiales, ce qui est la garantie de n’en maîtriser jamais aucune.
L’une des bases de l’aïkido (inclus dans le taïkido) est l’acceptation.
C’est aussi la seule discipline présentant cette approche.
Dès lors comment concilier l’étude et la pratique d’autres disciplines ? !
C’est l’une des aberrations criantes des avis émis par ce pseudo maître et il y en a bien d’autres, que nous ne nous autorisons pas de publier, par élégance et respect, notions inconnues de ce pseudo maître.
Chacun est libre de vouloir faire de l’aïkido et de faire tout son contraire mais on n’a pas le droit de nuire, volontairement ou non.
On peut porter une opinion sur un sujet mais après l’avoir étudié, ce qui n’est pas le cas de ce pseudo maître puisqu’il n’a jamais eu la moindre volonté de se rapprocher de nous ou de notre dojo.
Comme disait mon professeur « plus la carte de visite est longue, et plus son détenteur en a besoin pour apporter crédit à son prétendu statut ».
Ce personnage, pseudo maître à la critique facile, étale au fil de ses pages, pedigree, décorations, références, liens avec des personnalités, etc.
Il décline tous ses grades, un à un, comme si les titres pouvaient être garants d’une quelconque qualité, surtout quand les termes employés sont quasi inconnus de la plupart.
Il se qualifie de « humble » mais il doit en ignorer la signification.
En ce qui nous concerne, nous n’avons aucune prétention.
Notre seule ambition est d’apporter un plus quotidien à chacun de nos pratiquants et qu’ils trouvent leur propre voie (do) vers l’autonomie.
Tout le reste est blablas, que ce pseudo maître ne maîtrise même pas correctement.
Nous ne cherchons pas à convaincre que notre approche est LA meilleure, ni qu’elle est universelle.
Nous proposons seulement de venir nous rencontrer, d’essayer et de rester étudier et pratiquer avec nous si c’est le souhait, chacun étant libre de partir à tout moment.
Bien que le site internet du dojo de Montluçon présente parfaitement ce qu’est le Taïkido, cela ne reste que des mots alignés sur un écran et ne remplace évidemment pas l’expérience et le ressenti, ce que nous proposons sous forme d’invitations permanentes, nos portes étant grandes ouvertes à quiconque de sincère est intéressé par notre discipline.
Ainsi qu’il est expliqué sous de multiples formes, le Taïkido repose sur l’étude et la pratique de disciplines traditionnelles basées sur les notions d’énergie : qi gong, taïchi, kiatsus, seifuku et en ce qui concerne le côté art martial, l’aïkido.
Nous n’avons donc à aucun moment réinventé la roue, ni encore moins eu la prétention de créer un nouvel art martial !
Les clubs d’aïkido fédérés (voir « sportifs ») sont pléthore dans la région de Montluçon.
En créant le TAAMTAM Dojo, notre souhait a été d’apporter une approche globale de nos études, encrée dans la tradition orientale.
L’appellation « Taïkido » nous est apparue comme définissant le mieux celle-ci puisque « Taï » décrit l’Homme sous son aspect physique, mais aussi situé « entre ciel et terre ».
Un autre principe fondamental de notre dojo est de répondre au concept « un maître un dojo », comme au Japon.
Nous comprenons que cette approche puisse irriter les clubs formatés à l’occidentale et surtout franco-français, mais c’est l’une des bases de notre conception d’un dojo, un art martial oriental ne pouvant être étudié authentiquement que dans ce cadre.
A moins de lui ôter tout lien traditionnel mais il conviendrait alors de ne plus faire référence au terme aïkido ; c’est pourtant ce que l’on observe dans la plupart des clubs d’aïkido, pas gênés du tout d’être commandés et dirigés par des cadres nommés par une autorité dépendant de l’état français.
Rappelons les termes du fondateur de l’aïkido : « l’aïkido est l’opposé d’un sport ».
Il ne peut donc fonctionner comme un club sportif.
« Le sage montre la lune avec son doigt, l’imbécile ne voit que le doigt »
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